Pour sa défense
Le jeune russe se défend et déclare. « Je n’ai pas demandé aux gens de regarder mes vidéos. Qui est l’Eglise orthodoxe pour que j’aie à me repentir devant eux ? » s’est-il défendu lors de son procès. L’Eglise orthodoxe n’est pas la seule à blâmer Pokémon Go. L’été dernier, un évêque italien avait même comparé le jeu de Niantic à « un système totalitaire proche du nazisme » !
Mais Rouslan Sokolovski n’a pas que des détracteurs. L’ONG Amnesty International a ordonné au Gouvernement russe de relâcher le jeune russe pour cause d’accusations « grotesques ».